[Presse] Ce soir on dort dans les arbres

"Ce soir, on dort dans les arbres est un livre-bonsaï. Elle en a soigné les ramures. Elle a taillé les branches au plus près du tronc et des racines. Elle a ramassé l’écriture dans un noyau de phrases courtes et retrouvé la sève qui coulait dans des dialogues noués entre elle et sa grand-mère..." Pascal Goffaux

 

Si on sortait… revivre les coups de cœur de 2021

No télé, 4 janvier 2022

 

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Ton berceau centenaire

Le Carnet et les Instants
mai 2021
un article signé Tito Dupret

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"Écrit sans arabesques, a minima comme autant de notes prises entre les mots et aux vents légers des échanges, Violaine Lison offre ici une petite création littéraire qui témoigne d’un quotidien sur un ton intensément filial. Il s’en dégage toute l’affection mutuelle pouvant exister entre deux êtres que deux générations séparent… finalement de façon on ne peut plus abstraite."

 


Portrait d'une grand-mère au plus près de l'affection

AREAW
avril 2021
un article signé Michel Voiturier

"Promenade en duo d’une petite-fille et de sa grand-mère maternelle à travers ces moments où la vie s’apprête à s’éteindre. Un livre lumineux  à travers les larmes qu’il recèle. Un livre de vie situé à cette période d’une existence où les deux sens du mot affection se rejoignent paradoxalement : sentiment d’attachement reliant deux personnes et altération de la santé physique ou mentale d’un être vivant.

Violaine Lison a choisi de ne pas écrire une nouvelle, ni un récit, ni un journal intime, ni de la poésie. Elle extrait de son souvenir des fragments brefs vécus en compagnie de son aïeule presque centenaire. Il y a juste assez peu de ‘je’ ou de ‘moi’ pour situer la narratrice. Il y a beaucoup de ‘tu’ ou de ‘toi’ pour souligner le lien fondamental avec celle à qui la petite-fille adulte parle, pour reproduire aussi des bribes de dialogues.

À travers ces instantanés se dessine un double portrait. Celui de celle qui a vécu pleinement avant de se retrouver dans une institution capable de s’occuper d’elle jour et nuit ; qui perd lentement le fil de sa mémoire et la maîtrise de son corps avec ce que cela suppose d’angoisses intermittentes lorsqu’on perçoit sa propre impuissance. C’est, indirectement, le portait de la jeune attentive, réconfortante, compréhensive, impuissante mais apaisante et quelquefois rassurante.

Tout est dit sans s’appesantir. La réalité est appréhendée dans ces facettes drolatiques, dramatiques, tendres, douloureuses, sereines, charnelles, affectives, complices. Nulle dramatisation, nul apitoiement mais une humanité fondamentale qui affronte sans révolte ni lamentation. La mort, ici, est naturelle comme elle doit être.

Les illustrations en contrepoint de Véroniques  Rouillier évitent aussi tout rappel réaliste dérisoire. Ce sont des  traces laissées par un pinceau sur des pages blanches, malhabiles, tâtonnantes mais d’une présence affirmée autant que fragile. Et ces partages  de mots et de signes avec le lecteur font du bien puisqu’ils rappellent que le destin de chacun est le même pour tous. Impossible de s’y soustraire. Autant apprendre à être prêt. Cela ne change rien à l’amour. Au contraire."

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Petite-fille et grand-mère dans les arbres

Vers L'Avenir
8 avril 2021
un article signé Christophe Desablens

« Entre instants d’égarement et de lucidité, face aux corps qui s’en va et à l’esprit qui s’évanouit à cause de la vieillesse, l’auteure tournaisienne a gardé le doux souvenir d’excellents moments de proximité voire de complicité plutôt que d’un épisode traumatisant. »
Christophe Desablens


« Mais quand quelque chose est moche dans la vie, des mots peuvent la rendre plus belle. Il n’y a que la poésie pour permettre de faire vivre ça, pour raconter une fin de vie qui puisse faire du bien, à moi-même et à ceux qui lisent. C’est aussi ça la poésie, ce sont des images pour dire l’indicible » Violaine Lison

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Le premier livre de Violaine Lison

notélé
10 avril 2021
reportage JT (Tournai)

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Un livre empli de douceur

Nord Eclair 
11 avril 2021
un article signé Céline Delcroix

« Une nuit, j’avais cette impression de devoir écrire ce livre. Après cette relation avec ma grand-mère, j’avais tous ces instants, toutes ces phrases en moi. Ce livre, je l’ai écrit en un jour ou deux. Ca n’était pas un projet que j’avais au départ, c’était juste une évidence. (…) Ca me fait plaisir que les gens qui ne sont pas des lecteurs de poésie habituellement puissent se dire que la poésie, ça leur parle. »

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Un chant d'amour pour sa grand-mère maternelle

MUSIQ 3
12 avril 2021
un article signé Pascal Goffaux

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